Le 14 mars dernier, Bertille des Fontaines, nous accordait une interview autour de son album « D’Amour et d’Eau fraîche » et de sa passion pour la langue française. Aujourd’hui, ce sont les quatre dernières partitions de cet album qu’elle nous propose avant de se consacrer à un nouveau projet.
C’est une cure de jouvence pour se recentrer sur son essence et retrouver ses énergies que nous offre la femme fontaine de la Providence Bertille des Fontaines, avec sa période « D’amour et d’eau fraîche » titre ultime et éponyme de cette ère épique entamée en 2017 et qui s’achève cet automne par quatre nouvelles chansons.
Cette amoureuse de la langue de Molière qui puise son inspiration dans la magie et les anges, nous transmet sa passion avec verve dans « Si La Do Ré », « Paris, Mon Amour », « d’amour et d’eau fraîche » ou encore dans le langoureux « Amour Onirique ». En laissant son égo sur la rive, l’artiste qui a fait le choix d’être à la dérive depuis 2017, nous nourrit de messages universels et très personnels.
Après A la dérive, L’Allée des Cygnes, La Nuit, Mon Amant de Karma, Vol de Nuit, La Valse Ivre, Anthologique Amour, D’une Marguerite, place à la dernière partition de quatre notes d’une messagère d’amour, qui n’a pas fini de distribuer ses flèches.
« Le fait de mener chacune de mes chansons, en solitaire, me permet de créer exactement, ce que je souhaite : une intimité toute particulière, singulière, familière, avec celles et ceux qui m’écoutent. Entre nous se crée, en secret, une relation privilégiée. Alors, naît l’impression réciproque que sans se connaître, l’on se reconnaît, sans équivoque. » Bertille des Fontaines
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Artiste de toute beauté !