Chaque fin de semaine, la rédaction de Phenixwebtv.com vous propose de découvrir les nouveaux clips qui font actuellement la Une
Julia Jean-Baptiste – Le dernier trophée
Avant de vous livrer une chronique complète du nouvel album Toujours Plaire de Julia Jean Baptiste la semaine prochaine, on vous propose dès aujourd’hui de découvrir le clip puissant et vibrant qui accompagne sa sortie. Parmi les dix titres, « Le Dernier Trophée » s’impose comme le focus track, un hymne à l’amour, viscéral, engagé, universel. Sur fond de disco froide et de guitares tendues, la chanteuse y clame sa soif d’humanité dans un monde en perdition, avec le cœur comme unique étendard.
Réalisé par Théo Sauvage, le clip met en scène l’amour dans toutes ses formes : amoureux, amical, corporel, et surtout l’amour de soi. Tourné dans un atelier d’artistes à Vitry, il donne à voir des couples réels, des corps vrais, des visages marqués par la vie. On y croise une femme d’une soixantaine d’années, qui incarne ce rapport apaisé au vieillissement, cette beauté du temps qui passe : l’amour de nos rides, de notre peau, de se voir vieillir parce qu’on a la chance d’être en vie. Au milieu de ces scènes, Julia apparaît comme une figure à la fois douce et puissante, Marianne de l’amour, dans sa tenue rouge – veste, pantalon, poing levé. Elle traverse les tableaux avec une élégance et une énergie badass, donnant au clip une dimension presque symbolique : celle d’une artiste qui ne veut plus plaire à tout prix, mais qui s’affirme, libre et entière. Un clip coup de poing, à la hauteur du morceau et de l’album qu’il annonce.
Neg’ Marrons – Un peu de temps
Il y a 25 ans, Neg’Marrons signaient l’un des morceaux les plus emblématiques du reggae français avec « Le Bilan ». Un quart de siècle plus tard, ils reviennent avec « Un peu de temps », un nouveau single qui prolonge leur héritage tout en se tournant vers l’avenir. Sur une prod reggae infusée de sonorités modernes et de touches hip hop, Jacky et Ben-J déroulent une réflexion sincère sur le temps qui passe, la famille, les racines et les choix de vie.Le morceau, porté par un refrain entêtant et des couplets imagés, conjugue puissance émotionnelle et accessibilité, dans la lignée de ce que le duo a toujours su faire de mieux : toucher sans tricher. Les voix des deux artistes, reconnaissables entre mille, imposent un style toujours aussi efficace, entre gravité et légèreté.
Le clip, lui, joue sur la corde sensible : on y suit deux enfants dans leur chambre, absorbés par leur imaginaire, tandis que les Neg’Marrons apparaissent, en miroir, comme les versions adultes de ces gamins rêveurs. Au fil des plans, les jouets cèdent la place aux souvenirs, les jeux à la réalité, et l’on assiste à l’évolution de leurs vies entre enfance, passion et transmission. Un avant-goût solide de l’album à venir, qui s’annonce déjà, comme ils le disent eux-mêmes, non pas mortel, mais immortel.
Malka Family – Sava Sava
Tout chaud sorti de leur marmite du funk, La Malka Family revient avec un groove irrésistible et un esprit toujours aussi déjanté. Après l’excellent Super Lune, le collectif légendaire balance « Sava Sava », premier extrait de leur nouvel album Planète Claire, dont le premier chapitre est attendu pour le 16 mai. En bonus, une date à la Cigale déjà annoncée pour le 7 novembre 2025.
Toujours aussi barré et généreux, le groupe nous offre un clip aussi funky que théâtral : on les retrouve en studio, concentrés sur leur enregistrement, quand tout à coup, un vieux magnétophone rend l’âme dans un nuage de fumée. Pile à ce moment-là débarque une journaliste venue écouter le morceau. Problème : plus rien à faire écouter. Refusant de revenir le lendemain, elle leur lance un défi : jouer en live, ici et maintenant. S’en suit une performance débridée, pleine d’énergie et de folie contagieuse, à l’image de La Malka Family. À la fin du clip, l’interview finale est à mourir de rire : les réponses du groupe sont à côté de la plaque, totalement surréalistes, mais toujours dans le ton. Bref, un retour fidèle à leur ADN, funky, barré, jouissif. « Sava Sava » et même plus que ça.
Hélène Sio – Celle que je crois
Hélène Sio continue de tracer son chemin avec sensibilité et détermination. Deux semaines après la sortie de Celle que je crois, elle en dévoile aujourd’hui le clip, une étape de plus vers son premier EP Les Ratures, attendu le 25 avril. Ce nouveau morceau, à la fois clair et dense, explore ce qu’il reste après les tempêtes, les doutes, les fractures, les reconstructions. Hélène y raconte sans pathos, mais avec intensité, les détours d’un parcours marqué dès l’adolescence par un AVC. Ce n’est pas un récit de plainte, c’est une chanson qui regarde droit devant, avec ses failles et ses forces.
Dans le clip réalisé par Roman Goldet, deux versions d’elle-même se frôlent, se cherchent. L’une, posée et contenue. L’autre, plus instinctive, en mouvement. Une mise en image délicate de cette tension intérieure que beaucoup reconnaîtront : celle de vouloir avancer sans renier ce qu’on a été.
Checler – L’emprise
Checler revient de loin, mais surtout de lui-même. Trois ans après ses débuts remarqués chez BMG, il réapparaît dans un clair-obscur qui lui va bien, avec un nouveau single, « L’emprise », paru le 4 avril. Un morceau nu, tendu, comme une confession à voix basse dans le silence d’un soir trop long. Ce qu’on entend d’abord, c’est une guitare en boucle, quasi obsessionnelle. Puis sa voix, qui vacille entre lucidité et aveu. L’emprise est non seulement un titre, mais aussi l’état d’esprit, celui d’un attachement qui déborde, qui dépasse, qui consume. Addiction ? Amour ? Le texte laisse planer le doute. Et c’est dans cette ambiguïté qu’il trouve toute sa puissance.
Tourné à l’arrache, entre les phares d’une vieille Peugeot et les lampadaires fatigués de la nuit parisienne, le clip joue la carte du minimalisme. On y retrouve la fameuse cagoule qui recouvre les yeux, emblème du disque à venir, métaphore d’un enfermement intérieur. Checler fume, traîne, aime. On le voit main dans la main avec sa compagne, complices dans une épicerie, dans un bus, dans la rue, entre fous rires et tendresses furtives. Un quotidien banal, presque heureux en surface. Mais très vite, quelque chose déraille. Elle reste dans le bus, lui rentre seul. Il fait du stop, seul encore. Elle marche, cherche, le retrouve. Cagoule sur le visage, il disparaît dans la nuit comme une silhouette floue, presque un souvenir. Et c’est elle, à la fin, qui finit par enfiler ce masque rouge, comme si le mal s’était transmis. Ce nouvel extrait annonce un opus qu’on devine déjà sensible, fiévreux et sans compromis.
Mathis Akengin – Voltige
Un piano, une lumière douce, une atmosphère suspendue. Avec ce tout premier morceau en solo, Mathis Akengin pose les bases d’un univers introspectif, sensible et sans artifice. « Voltige » est une respiration, un moment suspendu qui révèle une facette plus intime du musicien. Influencé par des artistes tels que Chilly Gonzales, Agnès Obel ou Patrick Watson, Mathis s’affirme ici avant tout comme compositeur de piano, guidé par l’émotion et l’élégance.
La vidéo signée Pablo Delpedro accompagne cette première sortie avec simplicité : Mathis y est seul, au piano à queue, dans une lumière tamisée, laissant toute la place à cette invitation délicate à entrer dans son monde, avant de le voir s’étoffer, un peu plus tard, d’une dimension indie-pop. Une première pierre posée avec douceur et conviction.
Nina Attal – One Way
Nina Attal met les gaz avec « One Way », un single électrisant qui fait le pont entre sa passion de toujours pour la Formule 1 et l’adrénaline de la scène. Depuis l’enfance, c’est son grand frisson du dimanche, un rituel partagé avec son père devant les Grands Prix, entre moteurs rugissants et dépassements audacieux. Aujourd’hui, c’est elle qui passe à l’action, casque en main, pied au plancher. Entre pole position”, “pit lane” et “overtaking”, One Way convoque tout le champ lexical des circuits pour parler de la scène comme d’un sport extrême : la tension avant de monter sur scène, la montée d’adrénaline, l’ivresse du live. « C’est exactement la même sensation que dans une voiture de course : une communion avec la machine, le public, les musiciens », confie-t-elle.
Cette connexion prend une nouvelle dimension lorsqu’un fan de la première heure, mécanicien pour une écurie de Formule Ford, l’invite à prendre le volant. L’expérience est un choc, une révélation. Et surtout, le point de départ du clip de « One Way », réalisé par Dario Holtz. Tourné sur une piste automobile, le clip alterne les plans de Nina en combinaison de pilote, casque à la main, et ceux d’un bolide lancé à pleine vitesse, comme une métaphore filée de son énergie scénique et de sa trajectoire artistique. Une course à toute allure, entre passion, musique et moteurs.
Beau Bandit – La Piscine
Après l’anglais de Middle Class Luxury en 2024, Beau Bandit revient à sa langue natale pour mieux vous faire fondre. Avec « Piscine », premier extrait de leur prochain album à paraître chez Hasta Luego & Daydream Music, le groupe rennais prépare votre été en mêlant sensualité, vertige existentiel et second degré assumé. Entre rock français eighties et blues saharien, le morceau évoque le désir et la mort, la peur et l’amour, inspiré par une lecture de Céline au bord d’une piscine italienne. Le contraste entre la noirceur du texte et la douceur du moment a fait naître ce titre au groove intense, porté par des guitares aux accents touaregs et un chant en français, tout en distance et en chaleur.
Le clip, aussi solaire que décalé, nous plonge dans l’univers du groupe : instruments en plastique à la main, les musiciens chantent allongés sur des bouées, au bord ou au fond de la piscine. On les retrouve immergés, émergents, en apesanteur dans ce décor bleu chloré, jusqu’à ce qu’ils tombent un à un à l’eau, comme une dernière révérence à la gravité. Entre dérision et gravité, cette « piscine » est parfaite pour plonger dedans, sans hésiter.
Mary Bach – Étrange absence
Des nappes électroniques douces et suspendues dessinent le paysage sensible d’Étrange Absence, troisième extrait du prochain EP de Mary Bach. Le morceau, composé lors des Rencontres d’Astaffort avec Daran aux arrangements, explore l’empreinte laissée par un père jamais vraiment connu. Le texte oscille entre quête affective et errance intérieure, où chaque visage croisé pourrait être le sien. Un titre délicat, traversé d’émotions sourdes et de poésie visuelle. Un morceau qui touche juste, sans jamais forcer.
Le clip, entre théâtre à ciel ouvert et rêve éveillé, met en scène des fragments d’enfance et de mémoire. Une malle remplie de souvenirs, une mer immobile en fond de décor, des photos accrochées aux arbres comme des repères fragiles, des gestes suspendus entre le réel et l’onirique. Les scènes s’enchaînent comme autant de souvenirs décomposés, jusqu’à l’image finale, une stèle fleurie, discrète et lumineuse.
Jacques & Jacques – En boucle
Le réveil sonne, encore. Tartines ou céréales, rasage ou étirements, pétanque ou tronçonneuse. Dans leur nouveau clip « En Boucle », Jacques & Jacques rejouent les cycles infernaux du quotidien sur fond de musique électronique répétitive… et savoureusement absurde. Focus track de leur tout premier album L’album (disponible ce vendredi 4 avril), le morceau poursuit leur exploration décalée de notre rapport au monde. Après avoir challengé l’IA dans L’Amour à la Machine, les deux acolytes s’attaquent à l’ennui et à l’étrange confort de nos habitudes.
Dans une succession de scènes réglées au millimètre, le duo traverse la semaine comme une boucle sans fin, entre studio bricolé, corvées champêtres et poses absurdes. Un clip plein d’autodérision, où le geste quotidien devient presque chorégraphie, et où la musique, bien sûr, reste en boucle.
Paddang – Pressure
Formé en 2020 à Toulouse, Paddang est un trio de rock psyché lancé à pleine vitesse entre les riffs abrasifs d’Osees et les constructions alambiquées de King Crimson. Leur nom, clin d’œil à un spot de surf indonésien, évoque déjà l’aventure, et leur musique ne déçoit pas, une épopée cosmique portée par trois voix qui appellent à l’action dans un monde au bord du chaos. « Pressure », premier extrait de leur prochain album, plante le décor : une planète en déclin, des empires qui s’effondrent, et une lutte sans merci pour le contrôle de la Draconite, une pierre d’énergie mythique. Porté par un refrain fédérateur, le morceau oscille entre brutalité fuzz et envolées pop-psyché, comme le reflet sonore des tensions qui traversent ce monde en perdition.
Le clip, tourné comme le pilote d’une série B futuriste, introduit Moros, héroïne de cette nouvelle odyssée. On la suit dans son repaire, avant qu’elle ne parte à la recherche de l’origine d’une force dévastatrice. Sur sa route : paysages dévastés, nature disparue, rituels étranges autour d’une pierre exploitée jusqu’à l’absurde. Une fable écologique et rock, portée par une mise en scène soignée et une tension croissante.
Joanne Radao – Jélinne
Sorti ce vendredi 4 avril, le nouvel EP de Joanne Radao se dévoile peu à peu, et on vous en parlera plus longuement la semaine prochaine dans une chronique dédiée. En attendant, place à « Jélinne » le clip du morceau éponyme, qui donne toute sa tonalité au projet. Jélinne, c’est le prénom de sa grand-mère, celle qui l’a en partie élevée, celle dont la mémoire infuse chaque note de ce morceau. Une chanson comme une offrande, intime et universelle, qui célèbre les liens de sang, de cœur, et le métissage en héritage.
De Jélinne à Joanne, le « J » majuscule devient un trait d’union, un symbole de transmission et de continuité. Un hommage vibrant à ceux qui nous précèdent et continuent de vivre à travers nous, comme l’illustre la vidéo ci-dessous.
Da Capo – Alone
Après « Ring the Bells », Da Capo dévoile « Alone », deuxième extrait de Songs from the Shade, leur neuvième album à paraître le 2 mai chez Autruche Records / Inouïe Distribution. D’entrée de jeu à l’écoute, les cordes dressent le décor : sombre, intense, presque cinématographique. Puis la tension monte, irrésistible, jusqu’à l’explosion, cuivres, cloches, guitares, tout converge vers une beauté déchirante. Le groupe livre iciun chant funèbre sublime, porté par la voix d’Alexandre Paugam, aussi fragile que magnétique. Une mélopée glaciale et hypnotique, qui parle d’amour perdu comme on évoquerait une lande déserte. La douleur se fait paysage, majestueusement orchestrée, et chaque note résonne comme une prière.
Le clip, réalisé par Delphine Colomb et Alexandre Paugam, en prolonge l’esthétique, celle d’une errance visuelle aux allures de peinture nordique, entre silence et vertige. C’est beau, profondément, douloureusement.
Sparks – Drowned in a Sea of Tears
Les Sparks lèvent un coin du voile sur leur prochain album MAD! avec « Drowned in a Sea of Tears », un nouveau single à la fois élégant et douloureux, dans la plus pure tradition tragico-romantique. Prévu pour le 23 mai via Transgressive Records, le disque s’annonce comme un condensé d’intensité émotionnelle, toujours teinté de l’excentricité propre aux frères Ron et Russell Mael. La chanson se déploie comme une élégie moderne, portée par une mélodie sobre et une écriture affûtée. Il y est question de silence émotionnel, de murs qu’on érige autour de soi, et de la solitude abyssale qui en découle. À la différence des pièces à chute que les Sparks affectionnent, cette fois, pas de pirouette : juste le constat brut d’un chagrin sans issue.
Le clip qui l’accompagne, toujours aussi cinématographique, met en scène une femme au bar, noyant ses non-dits dans un cocktail avant de sombrer, littéralement, dans ses propres larmes. Une esthétique théâtrale assumée, comme un écho visuel au drame intérieur du morceau.
Lucien Chéenne – Derrière l’amour
Lucien Chéenne lève le voile sur « Derrière l’Amour », un nouveau single profondément intime, prélude à son prochain album Larmes au Poing, attendu le 11 avril 2025 chez Flower Coast. Ce titre, écrit comme une lettre ouverte à son père, sonne comme un geste de réconciliation, une main tendue après quarante ans de silences et de détours.
Tourné en noir et blanc, le clip signé Simon Grumal capte avec pudeur la vérité de ce moment rare : un fils qui fait écouter à son père une chanson qu’il a écrite pour lui, dans un bar, accoudés à un comptoir. L’émotion est palpable, les regards disent plus que les mots. On les retrouve ensuite chez le père, autour d’un repas simple, feuilletant des albums photos, partagés entre souvenirs et retrouvailles. Raconter l’intime avec justesse, sans jamais forcer le trait, c’est ce que l’artiste fait de mieux. Loin des artifices, c’est un chant pour les liens qui tiennent, malgré le temps, les silences, les fêlures. Un moment suspendu, en toute simplicité, qui touche en plein cœur.
TV Sundaze – Don’t mind me
Les TV Sundaze balancent un nouveau missile fuzzé avec « Don’t Mind Me », avant-goût tonitruant de leur prochain album Plastic Bags / Packing Tape, prévu pour le 18 avril. Entre garage rock abrasif, autodérision bien dosée et refrains qui collent, le morceau impose son énergie dès les premières secondes.
Guitares saturées, mélodies efficaces et un chant qui oscille entre détachement et urgence, la chanson campe le portrait d’un anti-héros discret, presque effacé, qui traverse le monde comme une mouche dans un concert. Et justement, c’est elle, la mouche, qui vole la vedette dans le clip barré signé Lino Morteveille. On la suit dans son survol chaotique, à travers une vision kaléidoscopique qui bouscule les perspectives, agace les musiciens… et amuse le spectateur. C’est brut, c’est fun, ça pulse, les TV Sundaze savent comment chauffer la salle avant l’orage.
Momma – Rodeo
À l’occasion de la sortie ce vendredi de leur très attendu nouvel album Welcome to My Blue Sky (Lucky Number), Momma dévoile un nouveau single, « Rodeo », accompagné d’un clip singulier réalisé par Richard Phillip Smith. Chargé d’une tension sourde, ce morceau exprime une frustration intime, un désir à peine contenu, à travers des riffs acérés, une batterie syncopée et une voix douce-amère qui marque l’empreinte sonore du duo. « Rodeo adopte le point de vue de deux personnes que nous avons, d’une certaine manière, laissées derrière nous sur le plan sentimental. C’est notre façon d’honorer leurs histoires en explorant le sentiment d’être remplacé », expliquent Allegra Weingarten et Etta Friedman.
Pour mettre en image cette idée, le clip met en scène Momma figées au centre d’une patinoire déserte, pendant qu’une autre figure patine autour d’elles, traquée par un taureau. Une métaphore visuelle étrange et poétique, recréant ce sentiment d’impuissance face à un lien qui s’effiloche, un amour qui glisse entre les doigts.

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