L’artiste Réunionnais Aurus questionne et dénonce notre rapport au monde dans les quatre titres de son premier projet solo qui sort ce vendredi 12 juin.

Sous cette coiffe métallique qui sert de visuel au premier projet d’Aurus, se cache Bastien Picot, ancien choriste pour des pointures tels que Steve Wonder ou Aznavour. Originaire de l’île de la réunion, Aurus nous fait découvrir un univers inspiré de ses racines Mayola, où créole et anglais font bon ménage.

Il y a un an, Aurus dévoilait un premier titre « Momentum », suivi en septembre dernier par un duo captivant de complicité avec Sandra Nkaké sur « The Abettors » qui interroge notre rapport au monde animal.

Le 3ème extrait « Mean world syndrome » quant à lui, revient sur notre exposition trop importante aux médias qui nous poussent à percevoir le monde plus dangereux qu’il ne l’est. Une sorte de paranoïa qui nous habite, mis en exergue de façon envoûtante par l’artiste.

L’EP s’achève par le titre « Scalp », le seul extrait que le public découvrira enfin ce vendredi. Il aborde le sujet du burn-out et s’accompagne d’un joli clip, mis en images par l’artiste en personne et qui sera dévoilé pour accompagner la sortie de l’album. Une vidéo dont on se fera un plaisir de vous en dire plus, dans les clips de la semaine.

Bastien Picot peut être fière de ce premier projet où réel et imaginaire font bon ménage, porté par une voix devenue son instrument de prédilection. En attendant la sortie de son premier album, découvrez l’univers de cet artiste loin d’être un dieu égyptien, mais dont le 3ème est celui d’un visionnaire.

Plus d’infos

Le premier EP d’Aurus sera disponible le 12 juin sur toutes les plateformes.

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