Sébastien Guérive sort son disque Omega Point ce 19 mars. Il a été précédé et annoncé par le clip Omega II, paru en janvier et déjà chroniqué sur ce site.
Sébastien Guérive est implanté depuis vingt ans sur la ville de Nantes. Il a une solide formation de violoncelliste classique, et s’est tourné vers la musique électronique avec son premier album La pensée errante, dévoilé en 2001. Il travaille également pour le théâtre, la danse, la vidéo.

Omega Point fait entendre une musique instrumentale et principalement électronique. Pour varier les timbres, on peut entendre des voix déformés (Nashiva), du piano (Bellatrix), de la basse (Adhara), de l’harmonium (Menkalinan) et même un peu de guitare (Minchir). Il a su s’entourer d’avis et de conseil pour varier et construire sa musique. Elle rappelle le Krautrock de Tangerine Dream ou Klaus Schulze. L’utilisation de synthétiseurs analogiques n’est sans doute pas pour rien dans ce souvenir.
« Le point Oméga représente le point ultime du développement de la complexité de la conscience vers lequel se dirige l’univers ». Au delà de la citation de Teilhard de Chardin, le disque se présente comme un voyage cosmique. Chaque titre porte le nom d’une étoile. Omega est le premier et le dernier morceau, à l’origine et à la fin du voyage, vers un point à la fois inaccessible et toujours présent. Sébastien cherche à faire la bande originale d’un film de science fiction. Un vaisseau spatial se promène à travers les musiques et les images.

Comme beaucoup d’autres, Sébastien espère pouvoir faire des concerts, de la musique en public. En attendant écoutez son disque pour être prêt au moment de la reprise.
Plus d’infos
Omega Point, le nouvel album de Sébastien Guérive est disponible sur toutes les plateformes.